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Présentation

Un blog pour les passionnés de dessin, de peinture, et d' arts plastiques.
Pour ceux qui veulent apprendre : de la découverte, en passant par l'apprentissage puis la  pratique ...
Pour ceux qui veulent créer.
Plus des infos sur les expos, l'histoire de l'art ....

Conseil du jour

 

Vous pourrez retrouver désormais le blog de L'Ocre Bleu à cette nouvelle adresse :

http://l-ocre-bleu.fr/

 

Archives

6 mai 2007 7 06 /05 /mai /2007 08:23

Levez les yeux... le ciel est bleu aujourd'hui... prenez un bout de feuille et essayez de reproduire l'exacte teinte de ce bleu...

Un truc: placez la couleur que vous avez obtenu contre le bleu du ciel et vous verrez tout de suite si vous êtes dans la bonne tonalité... trop chaud, trop froid, trop clair... réajustez!

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5 mai 2007 6 05 /05 /mai /2007 20:44

Si le Bleu est associé au début du XX° à celui de Picasso, trois artistes ont accolés leur patronyme à cette couleur.

 

-         Le Bleu Klein :

Monochromes, éponges, anthropométries, dès 1957 , Yves Klein signe ses tableaux par

l’emploi d’un bleu lumineux, intense, qu’il voulait « morceaux de ciel ». Chacun s’interroge

sur la mystérieuse alchimie des pigments qui composent le bleu Klein ; celui-ci est protégé

sous le nom «  Klein Blue – IKB" - Yves Klein lie peinture et mysticisme… quête éperdue de

spiritualité de nos contemporains ?

Les années 50- 60 : l’art et surtout la peinture se veulent proches de la rue, de la vie. Le

trait est réaliste, il emploie toutes les couleurs, les fluos, se mélange à la photo….Les

teintes pures éclatent, les objets sont épurés, les matériaux récupérés, compressés,

assemblés, accumulés. Les couleurs deviennent un manifeste, un projet en tant que tel. Dans

ce bouillonnement, Klein intervient : il enveloppe les corps dans un bain de bleu intense et

les roule sur la toile. Le corps disparaît, mais sa trace est permanente : bleu permanent, de

Prusse, indanthrène… ? Bleu Klein !

-         Le Bleu Majorelle:

Association très forte et sensible entre un bleu intense et profond et une végétation

méditerranéenne, riche, colorée, vigoureuse. En allant peindre les montagnes de l’Atlas et

ses villages dans les années 20-30, Jacques Majorelle, fils d’un célèbre ébéniste de Nancy

et fleuron de l’école de l’Art Nouveau fut fasciné par la façon dont les habitants

peignaient les encadrements de fenêtres et certaines parties des façades avec un bleu de

Cobalt intense. Il s’installe à Marrakech et s’y fait construire un ksar berbère et en 1931,

un atelier fortement influencé par l’architecture de béton de Mallet-Stevens. Il fait

peindre les murs de ce bleu inoubliable : celui du ciel du Maroc des montagnes de l’Atlas

dans l’ombre… Un bleu auquel le Maroc associera le nom de l’artiste. Les héritiers de ce

domaine sont restés fidèles à ce bleu : Yves Saint Laurent et Pierre Bergé qui ont restauré

la maison Majorelle, ont repris sa palette de couleurs en n’ajoutant qu’un jaune de Naples

clair, par touches, aux portes, vasques et moucharabiehs.

-        le Bleu Bilal :

C’est une teinte  nuancée, fondée sur le cobalt, éclaircie de traits blancs devenant laiteux

ou diaphanes sur les corps féminins, assombrie par la mine de crayon pour le relief et

l’ombre, en mélange permanent avec le gris, se lissant griffer par des lanières rouge

vermillon. Exemplaire de ce nouvel art qu’autorise la BD, Bilal épris de bleus qu’il associe

dans ses dessins, toujours peints aux ciels pollués, aux terres à la dérive, à l’ombre des

cités et nous renvoie l’image d’un nouveau millénaire.

 

Picasso :

De 1901 à 1904,Picasso traverse une période que l’on qualifie de « bleue ». La couleur entre profondeur et lumière traduit le regard plein de compassion que Picasso jette sur l’homme face aux misères humaines 

 

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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 21:48

Quelque soit la technique, la palette des bleus est impressionnante ; il suffit de regarder les nuanciers des produits proposés par les fabricants :

Bleu ciel clair et foncé, Bleu royal, Bleu roi, Bleu de Sèvres, Bleu de Céruléum, Céruléum phtalo, Bleu turquoise, Bleu de Manganèse, Bleu Céleste clair et foncé, Bleu de montagne, Bleu ciel, Bleu d’Anvers, Bleu Winsor, Bleu phtalo, Bleu de Cobalt clair et foncé, Bleu indigo, Outremer clair et foncé, Outremer français, Bleu permanent, Outremer violet, Bleu de Prusse, Bleu cobalt turquoise, Bleu primaire, Bleu indanthrène, Bleu phtalo rougeâtre, Bleu de Paris, Bleu azur, Bleu berlinois, Bleu anthraquinone, Bleu vanadium pur, Turquise phtalo, Bleu capri, Bleu de Delft, Cyan, Bleu hortensia, Bleu indien, Bleu Hoggar, Bleu touareg, Bleu saphir, Bleu monestial… et j’en passe…

 Quelques incontournables :

-         Le Bleu de Cobalt : dénommé smalt jusqu’au XIX° s, le bleu de Cobalt est né de l’art des maîtres verriers qui découvrirent un bleu extraordinaire en ajoutant du minerai de cobalt au verre en fusion. Au cours du XIX°, le minerai si difficile à moudre est remplacé par la poudre d’aluminate de Cobalt.

Frais et frétillant, ce bleu d’excellente résistance à la lumière, plutôt transparent s’éclaircit joliment avec du blanc. Autres mélanges heureux : Il donne aussi des verts d’une excellente qualité.

Seule précaution à prendre : testez la luminosité de votre bleu Co qui est très variable selon les marques.

o       Ne pas l’appliquer en épaisseur car il sèche plus rapidement en surface qu’en profondeur… attention aux craquelures

o       et à l’effet granuleux ( pigment lourd) à ‘aquarelle

-         L’indigo et le pastel :On les confond depuis longtemps, et ils n’ont en commun que l’indigotine qui les compose

o       Le pastel connu depuis l’Antiquité est issu d’une plante : isatis tinctoria, aussi acclimatée aux pays nordiques qu’aux régions les plus chaudes de la Méditerranée. Ce bleu eut pour principale destination la teinture des étoffes.

§       L’indigotine fit la richesse du sud-ouest de la France dans un fameux triangle : Albi Toulouse Carcassonne, jusqu’à l’ère de l’indigo venu des Antilles

o       L’indigo cultivé en Orient et dans les Antilles détrôna le pastel grâce à son meilleur pouvoir colorant.

o       Le Bleu de l’ingotine a été remplacé à une période récente par le bleu d’indanthrène ( indigo dans le commerce), pigment de synthèse profond et intense qui offre une bonne résistance à la lumière et un pouvoir colorant très élevé. Onéreux il convient à toutes les techniques

-         Le Bleu de céruléum :

 Cousin germain du  Bleu de Co, il fut mis au point dans la première moitié du XX° s. C’est le plus opaque de tous. Onéreux, il est stable et se prête à toutes les techniques. Il est difficile à choisir ; veillez à la qualité de sa teinte ; un peu vert il n’est beau que s’il ne devient pas terreux. 

-         Le Bleu cyan :

Considéré comme universel, il est une nouvelle référence. C’est l’un des composants de la quadrichromie ( avec le magenta, le jaune et le noir) et a remplacé dans l’imprimerie les mélanges à base de bleus de Prusse, de manganèse ou de cobalt.

-         Le Bleu de Prusse :

Né à la fin du XVII° sous la main du chimiste prussien Dippel, il se caractérise par une teinte qui tire sur le verdâtre et semble presque noir. Son pouvoir colorant est si élevé que les peintres le trouvent souvent contrariant à l’usage : il a tendance en effet à migrer dans les mélanges et il diffuse constamment. Sa tenue à la lumière et la richesse des verts qu’il permet ( notamment avec le jaune de chrome) l’ont sauvé !

-         Le bleu turquoise :

Dernier-né de la gamme des bleus… il est onéreux, mais offre une extraordinaire fraîcheur et une exceptionnelle résistance à la lumière.

-         Le bleu phtalocyanine :

Le bleu de la chimie et du pétrole ! Né au milieu du XX° il a toutes les qualités dont on rêve : pouvoir colorant, stabilité, variété des nuances… Et pour un prix raisonnable. Il a mis à mort le bleu manganèse ( considéré comme toxique). Mélangé au blanc, il donne de très beaux bleus clairs, et avec les  jaunes de superbes verts. Transparent il convient aux glacis. Attention toutefois aux dosages car il est très puissant.

-         Lapis-lazuli et Bleu outremer :

Connu dès l’Antiquité, le lapis-lazuli est né des entrailles de la Terre, il y a 300 millions d’années. Il fut utilisé jusqu’à l’invention des couleurs chimiques. 

« Sa couleur présente un effet de luminescence en pénombre avec des variations d’intensité selon le niveau ambiant de l’éclairage » Le libris colorum du XV° nous livre le secrets de son broyage et la mise en œuvre de ce pigment précieux ; l’huile de lin est pour le lapis-lazuli broyé un excellent véhicule.

En 1828, le chimiste Guimet met au point un pigment de synthèse, très proche du lapis-lazuli : L’outremer est un beau pigment vif, transparent, profond et vibrant, apprécié pour sa stabilité, il donne de superbes gris ( mais pas de beaux verts) mais le soufre qu’il contient le rend impropre aux mélanges avec le blanc d’argent ou le jaune de chrome ( risque qui a disparu avec les outremers modernes)

Mais l’argument économique lui permet de détrôner le lapis : il faut attendre les années 1950 pour que des auteurs comme Xavier de Langlais reconnaissent la richesse du lapis-lazuli et de son bleu minéral unique.

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3 mai 2007 4 03 /05 /mai /2007 20:55

C’est la civilisation égyptienne qui la première donna au Bleu ses lettres de noblesse. Bleus com­me l’azurite ou pierre d’Arménie, l’indi­go et le fameux outremer fabriqué avec le lapis-lazuli d’Orient.

Elément alors essentiel du décor, des objets et des sculptures, il est alors boudé tout au long de l’Antiquité classique qui lui préfère les rouges, les ocres, les noirs et méprise une couleur identifiée aux barbares, à leurs yeux comme à leurs vêtements ; l’art le délaisse, le confine aux arrière-plans, au rôle de faire-valoir… C’est la couleur du deuil.

Au Moyen-Age, pourtant si le rouge domine, le Bleu des vitraux , fruit d’une découverte empirique, symbolise maintenant la lumière de Dieu et pare les cathédrales de St Denis ou de Chartres.

C’est aussi la couleur du pouvoir royal qui s’affirme et l’oppose au rouge de la papauté.

Le peintre du XIII° disposait de 3 bleus fondamentaux : le lapis-lazuli, le smalt, et le bleu de Prusse ( on peut y ajouter l’indigo).

Dans l’Italie du Quattrocento (XV° siècle italien. considéré comme le point de départ de la Renaissance), le contrat passé entre le peintre et son client (prince, dignitaire ecclésiasti­que, riche bourgeois...) stipule avec précision le choix des couleurs.

L’inquiétude qu’expriment sou­vent les contrats à propos de la qualité du pigment bleu, aussi bien que de l’or, n’était pas sans fondement.

Après l’or et l’argent, le bleu d’outremer était la couleur la plus précieuse et la plus difficile d’emploi. Il y avait des nuan­ces chères et d’autres bon marché, et le bleu allemand était un substitut encore plus économique. Pour éviter les dé­sillusions, les clients précisaient que le bleu employé serait le bleu d’outremer et les clients encore plus prudents stipulaient une nuance particulière —outremer à un ou deux ou quatre flo­rins l’once .

Mieux, les contrats se révèlent quelquefois as­sez sophistiqués en ce qui concerne la couleur bleue ; Un exemple : En 1408, Gherar­do Starnina s’engage par contrat à peindre dans l’église de Santo Stefano à Empoli les fresques, aujourd’hui dis­parues, de La Vie de la Vierge. Le con­trat est d’une précision méticuleuse pour ce qui concerne le bleu l’outre­mer destiné à Marie, il devra être d’une qualité égale à deux florins l’once, tan­dis que, pour le reste du tableau, un outremer à un florin l’once suffira. La nuance plus ou moins intense exprime le degré d’importance. 

Une lutte dont le Bleu n’aurait pu sortir vainqueur sans l’influence de la Réforme et de ces hommes vêtus de sombres qui le tolérèrent sur leurs habits quand ils proscrivirent les teintes plus vives. La peinture du temps témoigne de cette austérité par sa palette restreinte. Le rouge ne se relèvera pas de cette pénitence tandis que le Bleu s’étoffe progressivement de nuances subtiles et de raffinement dont le XVIII° s’entichera follement. Robes, porcelaines ; peintures, les Européens ne savent plus comment décliner leur couleur fétiche, tour à tour de France, de Saxe, de Prusse….

La révolution fait du Bleu la couleur de la liberté ; les Romantiques célèbrent ce symbole de l’amour mélancolique ; le XX° se dessine, politique et pragmatique : du bleu des poilus au bleu de travail, jusqu’au célèbre blue-jean, il a envahit notre quotidien.

Couleur préférée des français, c’est aussi un symbole consensuel, neutre, image même d’une union qui s’affiche sur le drapeau de l’ONU ou de celui de l’Europe.

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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 16:58

Le Bleu :  

Trait d’union entre tous les peintres abstraits ou figuratifs.

Symbole et couleur à la fois il est au cœur de notre vie et de notre palette… C’est une réalité «  palpable »: l’eau, le ciel sont bleus, la terre n’est-elle pas notre «  planète bleue » tout comme le drapeau de l’Europe est bleu. Il a des propriétés calmantes mais pour les artistes il est « muse inspiratrice », tant que certains sont nommés du nom de leur créateur.

Voyage au cœur de la « planète Bleu »  

 

Comme pour les autres couleurs, je vous envoie une newsletter concernant le symbole de la couleur bleue.

Mais comme nous allons la travailler durant ces quelques semaines, nous nous attarderons plus en profondeur sur son histoire et ses qualités.

Dorénavant, commencez à regarder ce que vous avez à disposition comme bleus ( ceci dans n'importe quelle technique)... on fera le point dès la rentrée!

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 07:42

Le jaune  : couleur  la plus difficile à "garder  propre" sur vos palettes; je vous rappelle que les godets d'aquarelle aime bien prendre régulièrement  une petite douche sous le robinet et que vous garderez ainsi une couleur brillante!

Ci-joint donc la newsletter sur la couleur jaune à laquelle j'ai rajouté un petit commentaire sur l'orange et sur la couleur or que l'on peut y associer.

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 09:58

Nous n'avons pas travaillé le rouge seul ( sauf peut-être pour certains qui l'ont mis "à la sauce fauviste"), mais  il est rentré pour une large part dans les mélanges que nous avons utilisés pour réaliser des portraits... Plus récemment c'est une couleur que vous avez beaucoup utilisé "en Afrique"... Normal, le rouge : couleur chaude par excellence!

Comme pour le vert, re-travaillez le : jouez les découvertes et les mélanges: jouez la gammes des rouges les plus froids ( magenta- rose quinacridone.- alizarine..) aux plus chauds ( les orangés, les laques, les cadmiums...); des plus clairs ( les roses...)aux plus sombres ( laque garance, carmin..)

Pensez aussi que les bruns rouges, marrons de pérylène, terres de sienne brûlée et autres rouges indiens... font aussi partie de la famillle.

Et on assombrit un rouge...en lui rajoutant ... du vert!

Je vous fais parvenir aussi une newsletter sur le rouge à rajouter au cours des couleurs

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23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 11:36

Vous savez que sur la dernière période nous travaillerons sur les " Sensations bleues" : tout un programme! Je vous inviterai donc à voir la vie en ....bleu.

Avant de nous y attarder refaisons un petit tour des couleurs déjà vues cette année.

A la rentrée, rappelez vous nous avons travaillé le paysage ... et donc le vert aussi. Nous l'avons retrouvé à propos de la jungle...

Il est facile de faire un vert : bleu + jaune, mais souvent il manque de luminosité.

Revoyez et refaites des essais , testez vos mélanges et n'oubliez pas que on doit toujours mettre " du rouge dans le vert " pour casser légèrement cet effet fluo qu'il peut avoir en étant trop "propre"!

 

Je joins une newsletter que vous recevrez par mail ; c'est un complément à votre cours sur les couieurs . Si vous ne la recevez pas signalez-le moi!

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 17:49

 

 

... Une couleur peut être claire ( si on la dilue - ou si on lui ajoute du blanc) ou foncée ( si on l'assombrit avec son complémentaire ou du noir); ceci permet de représenter les zones de lumière et d'ombre par le fait même de "jouer" avec le "noir et le blanc"; c'est le principe du clair-obscur.

Mais les couleurs outre leur teinte( jaune, bleu, rouge...) possèdent une valeur, c'est à dire qu'elles ont une tonalité qui leur est propre et même si on les "joue" à saturation, elles ont un rapport tonal entre elles.

Les jaunes sont toujours clairs, par rapport aux bleus qui sont foncés et les rouges et les verts sont intermédiaires.
Si nous shématisons:

       le jaune corrrespond au blanc

       le bleu correspond au noir

       le rouge correspond au gris.

Il est donc possible de rendre un effet "réaliste" dans une peinture en utilisant les couleurs par leur potentialités tonales.

C'est ce que nous venons de faire ... et cela donne des oeuvres " fauvistes"...  j'ai l'impression qu'elles vous ont plus " perturbées" que les formes destructurées du cubisme.

C'est vrai que les couleurs vives provoquent souvent des réactions émotives intenses.

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23 septembre 2006 6 23 /09 /septembre /2006 19:19

 

...

C'est l'automne !

Pour le peintre, une saison magique où la nature se pare de couleurs intenses ; il fait encore de belles journées qui nous donnent envie de sortir réaliser aquarelles et toiles " sur le motif"...

Voyagez "léger"!

Préparez donc une palette automnale en choisissant les couleurs adéquates.


Sous notre ciel méditerranéen, les couleurs changent peu, mais vignes et vignes vierges vont se mettre à rougir, les tilleuls se parent d'or et même le ciel s'irise dune couleur dorée ... 

Pour les réaliser au mieux votre palette de base automnale comportera de préférence :

du bleu céruléum,

du bleu de cobalt,

des jaunes orangés, comme le jaune de chrome, l'orange de chrome,

du rouge vermillon,

du terre d'ombre brûlée,

du terre de sienne brûlée...


Et surtout passez un bon moment !

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